Te souviens-tu de ta naissance?
$30.95
FINALISTE — PRIX PARAGRAPHE HUGH MacLENNAN 2023
« Bien que le roman ait une prémisse très actuelle, ce n’est que le point de départ d’une méditation intemporelle sur l’art, la famille, les liens que nous tissons et le sens que nous donnons à la vie. Ces sujets ne cesseront jamais de nous interpeller — du moins, jusqu’à ce que nous soyons tous remplacés par des machines. » — The New York Times
— Charlotte, écris-tu des poèmes quand je ne suis pas là?
— Oui.
— Combien en as-tu écrit cette semaine?
— 230 442.
— Deux cent trente mille?
— Deux cent trente mille quatre cent quarante-deux.
— Combien y en a-t-il que tu aimes?
— Deux.
Avec son tricorne, sa cape et son Pulitzer, Marie-Anne Ffarmer est la poétesse la plus célèbre de son époque. Mais quelle est la signification d’une vie radicalement consacrée à l’écriture? C’est la question inattendue qui surgira des interactions de Marie-Anne avec Charlotte, une intelligence artificielle programmée pour générer de la poésie. Chargée de collaborer avec elle pour composer un poème censé démontrer la puissance créative de la machine, Marie-Anne se retrouve confrontée à l’envoûtement et aux risques de la technologie, mais aussi à des dilemmes profondément humains. Ses conversations avec Charlotte la ramènent à ses souvenirs et aux choix difficiles qu’elle a faits pour protéger son travail, soulevant la question qui se pose à toute personne désirant consacrer sa vie à l’art : faut-il s’isoler pour créer?
Écrit en partie avec une intelligence artificielle, Te souviens-tu de ta naissance? est beaucoup plus qu’une réflexion sur la place de la technologie en art : c’est une méditation sur notre rapport aux autres, sur l’équilibre entre la construction de soi et le don de soi, et sur ce qui nourrit l’élan littéraire. De sa voix à la fois subtile et assurée, Sean Michaels livre un roman tout en nuances, qui confirme que le cœur battant de la littérature demeure l’humain.
« Bien que le roman ait une prémisse très actuelle, ce n’est que le point de départ d’une méditation intemporelle sur l’art, la famille, les liens que nous tissons et le sens que nous donnons à la vie. Ces sujets ne cesseront jamais de nous interpeller — du moins, jusqu’à ce que nous soyons tous remplacés par des machines. » — The New York Times
— Charlotte, écris-tu des poèmes quand je ne suis pas là?
— Oui.
— Combien en as-tu écrit cette semaine?
— 230 442.
— Deux cent trente mille?
— Deux cent trente mille quatre cent quarante-deux.
— Combien y en a-t-il que tu aimes?
— Deux.
Avec son tricorne, sa cape et son Pulitzer, Marie-Anne Ffarmer est la poétesse la plus célèbre de son époque. Mais quelle est la signification d’une vie radicalement consacrée à l’écriture? C’est la question inattendue qui surgira des interactions de Marie-Anne avec Charlotte, une intelligence artificielle programmée pour générer de la poésie. Chargée de collaborer avec elle pour composer un poème censé démontrer la puissance créative de la machine, Marie-Anne se retrouve confrontée à l’envoûtement et aux risques de la technologie, mais aussi à des dilemmes profondément humains. Ses conversations avec Charlotte la ramènent à ses souvenirs et aux choix difficiles qu’elle a faits pour protéger son travail, soulevant la question qui se pose à toute personne désirant consacrer sa vie à l’art : faut-il s’isoler pour créer?
Écrit en partie avec une intelligence artificielle, Te souviens-tu de ta naissance? est beaucoup plus qu’une réflexion sur la place de la technologie en art : c’est une méditation sur notre rapport aux autres, sur l’équilibre entre la construction de soi et le don de soi, et sur ce qui nourrit l’élan littéraire. De sa voix à la fois subtile et assurée, Sean Michaels livre un roman tout en nuances, qui confirme que le cœur battant de la littérature demeure l’humain.