La mer de la tranquillité
Par Emily St. John Mandel (CA)
$28.95
… et l’obscurité s’abat, comme provoquée par une soudaine cécité ou une éclipse. Il a l’impression de se trouver dans un intérieur caverneux, genre gare de chemin de fer ou cathédrale, il entend des accords de violon, il y a des gens autour de lui, puis un son impossible à identifier…
1912. Edwin St. Andrew a dix-huit ans lorsqu’il traverse l’Atlantique en bateau à vapeur, exilé de la bonne société. Il se laisse porter jusqu’en Colombie-Britannique où, fasciné par la beauté de la nature sauvage canadienne, il est témoin d’une expérience qui le choque profondément.
2020. Un compositeur, lors d’un concert, présente aux spectateurs une étrange vidéo filmée par sa sœur où la forêt cède brièvement sa place à l’obscurité, aux notes d’un violon et à un bruit évoquant une pression hydraulique.
2203. Une écrivaine est en tournée de promotion de son livre sur la Terre alors qu’une pandémie menace d’éclater. Dans le roman d’Olive Llewellyn, ce passage singulier : tandis que dans le couloir d’un terminal d’aéronefs un violon tout proche égrène des notes de musique, le personnage principal se trouve transporté.
Deux siècles plus tard, Gaspery-Jacques Robert est embauché pour enquêter sur une anomalie susceptible de prouver la théorie de la simulation. Il découvre une série de vies bouleversées et entreverra la chance de faire quelque chose d’extraordinaire qui perturbera la chronologie de l’univers.
Un roman sur l’art, le voyage dans le temps, l’amour et la mort qui transporte le·a lecteur·rice de l’île de Vancouver aux colonies lunaires, par l’autrice primée et maître conteuse de Station Eleven (Prix des libraires du Québec) et de L’hôtel de verre.
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Échos
« Combinant avec brio l’imagerie de la science-fiction et de la pandémie, Mandel fonde sa riche spéculation métaphysique sur de petits moments d’humanité, magnifiquement observés. Tour à tour ludique, tragique et tendre, à ne pas manquer. »
– Publishers Weekly
« Comme une ingénieuse maître de l’origami, Emily St. John Mandel paraît déterminée à ajouter, lors de chaque nouvelle œuvre, un nouveau pli à notre perception de la réalité et une autre dimension à ce que nous considérons comme le temps. […] Transcendant. »
– Wall Street Journal
« L’un des meilleurs romans [de l’autrice]. »
– The New York Times
« Déstabilisant, extraordinaire et bouillonnant. »
– New Yorker
« Encore plus audacieusement imaginé que Station Eleven. Passionnant, pertinent et satisfaisant. »
– Kirkus Reviews
1912. Edwin St. Andrew a dix-huit ans lorsqu’il traverse l’Atlantique en bateau à vapeur, exilé de la bonne société. Il se laisse porter jusqu’en Colombie-Britannique où, fasciné par la beauté de la nature sauvage canadienne, il est témoin d’une expérience qui le choque profondément.
2020. Un compositeur, lors d’un concert, présente aux spectateurs une étrange vidéo filmée par sa sœur où la forêt cède brièvement sa place à l’obscurité, aux notes d’un violon et à un bruit évoquant une pression hydraulique.
2203. Une écrivaine est en tournée de promotion de son livre sur la Terre alors qu’une pandémie menace d’éclater. Dans le roman d’Olive Llewellyn, ce passage singulier : tandis que dans le couloir d’un terminal d’aéronefs un violon tout proche égrène des notes de musique, le personnage principal se trouve transporté.
Deux siècles plus tard, Gaspery-Jacques Robert est embauché pour enquêter sur une anomalie susceptible de prouver la théorie de la simulation. Il découvre une série de vies bouleversées et entreverra la chance de faire quelque chose d’extraordinaire qui perturbera la chronologie de l’univers.
Un roman sur l’art, le voyage dans le temps, l’amour et la mort qui transporte le·a lecteur·rice de l’île de Vancouver aux colonies lunaires, par l’autrice primée et maître conteuse de Station Eleven (Prix des libraires du Québec) et de L’hôtel de verre.
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Échos
« Combinant avec brio l’imagerie de la science-fiction et de la pandémie, Mandel fonde sa riche spéculation métaphysique sur de petits moments d’humanité, magnifiquement observés. Tour à tour ludique, tragique et tendre, à ne pas manquer. »
– Publishers Weekly
« Comme une ingénieuse maître de l’origami, Emily St. John Mandel paraît déterminée à ajouter, lors de chaque nouvelle œuvre, un nouveau pli à notre perception de la réalité et une autre dimension à ce que nous considérons comme le temps. […] Transcendant. »
– Wall Street Journal
« L’un des meilleurs romans [de l’autrice]. »
– The New York Times
« Déstabilisant, extraordinaire et bouillonnant. »
– New Yorker
« Encore plus audacieusement imaginé que Station Eleven. Passionnant, pertinent et satisfaisant. »
– Kirkus Reviews